"You left me here alone".
Homage à elle. Je ne peux m'en empêcher, excusez. Il paraît qu'elle a oublié son sourire quelque part par là. Je suis bien contente d'en avoir quelques exemplaires patafixés sur mon mur, au cas où elle l'ait perdu {ce que je n'espère pas}. Je l'ai désespérément attendu mais il n'est pas venu. LE "SALAUD. Tu m'as trahis !". Cela étant dit je ne lui ai rien demandé. Alors on essaie de faire aller, se dit que ça pourrait être pire. Un néant de plein de choses. Je me creuse les méninges avec un pelleteuse mécanique, rien n'y fait. Qui est là ? Un bazar de rien du tout. Emmitouflé de son charme époustouflant, ce petit nouveau est canon-beau-inaccessible et nous l'espérons bien : gay. Nous pourrions mater à nos aises, sans avoir peur qu'on nous le pique puisque de toutes façons, tout espoir est vain. Sur le bureau une boîte à tabac Camel sert de pot à crayons. Jackouille à une bonne tête. "But I heard love is blind" {Amy Winehouse}. Tourner cette page que je n'ai toujours pas vu, fermer le bouquin une fois pour toute. Mais il est si lourd.