Tcha0 Bye-Bye, j'te jette une de mes pantoufles Titi à la gueule et m'en vais sans me retourner.
Hier matin. C'est fou. Je me réveille. Regarde l'heure sur mon portable. Un appel manqué. Oh joie. La journée commence merveilleusement bien. En plus on est lundi. Je fais tout pour me dire que cette journée ne peut être que bien. Je me motive intérieurement. Mais dans l'afflux de la civilisation, je n'ai plus qu'une envie : fuir, fuir, fuir ... Puis je me dis qu'il ne faut pas céder. Et puis quoi, un petit D.S. d'allemand foiré c'est rien. Puis tout s'arrange. Je rentre. Sur la table du salon. Une enveloppe. Timbrée Chicago. Oh joie. 20 minutes de déchiffrage. Puis j'ouvre mon agenda. Deuxième lettre. D'une certaine Princesse. Oui, princesse Strarla. Les T.P.E. avec toi, j'aime. Même si des fois j'ai l'impression que tu te fouts de ma gueule. Comme un écrasement sur la poitrine, je ne saurais le décrire. Mais là ça à l'air d'aller. Mieux. Mais je suis un peu sans nouvelles. Without news. Mon père regarde un Bratt Pitt. Sûrement un vieux, vu la coupe de cheveux. A moins que ça se fasse encore et que je ne sois pas au courant. Tout est relatif. Regardons 36 kilogramme. Chez une baleine. Même chez un bébé baleine. NOTE ! Plus viiiiite. Je suis courbatue.